Dernières lettres de Stalingrad
de Laurent Terzieff (adaptation)
Mise en scène de Laurent Terzieff
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Jusqu'au 22/06/2001
18 h 30 jeudi, vendredi, samedi.
Lucernaire
53 Rue Notre-Dame des Champs
75006 PARIS
Métro Vavin, Notre-Dame des Champs, Montparnasse Bienvenüe
01 45 44 57 34
Dans son ouvrage intitulé Stalingrad, l'écrivain allemand Plievier décrit les souffrances effroyables des soldats allemands du front de l'Est, cernés et systématiquement anéantis par les troupes soviétiques
Avant la capitulation de l'armée allemande à Stalingrad, au début de l'année 1943, des soldats de la Wehrmacht écrivent à leurs familles. Ces lettres nous sont dites, et l'aberration de la guerre vient à nos oreilles. Pour la cause du Reich, des humains qui, comme "tout le monde", avaient de l'amour à revendre et une bonté infinie, terminent la vie terrestre sous les bombes, perdants et humiliés par l'Histoire. Ils sont allemands pour le pire, appelés pour semer un idéal mortifère, mais se meurent, comme tous les hommes, innocents et désarmés. Il n'y a rien à dire, et une SS apathique affranchit ces courriers, sept sacs postaux de rage, de désespoir et d'amour, puisque c'est d'amour dont il doit apparemment s'agir pour pardonner...Laurent Terzieff donne l'occasion de penser et de ressentir ce qui, selon lui, est « l'une des périodes les plus déterminantes de l'histoire du siècle qui vient de s'achever ». Les comédiens Marie Sauvaneix, Stéphane Valensi et Alexandre Mousset servent remarquablement les lettres des soldats. Un moment d'émotion et de vérité.
Joseph Agostini
27/10/2002
![Affiche](./index_files/bando-alaffiche.png)
AVIGNON
Bourse du travail CGT
de Rachid Bouali
Mise en scène de Rachid Bouali
Ce spectacle est dans la continuité des opus précédents autobiographiques (« Cité Babel », « Un jour, j'irai à Vancouver » et « Le jour où ma mère a rencontré John Wayne ») écrits par Rachid Bouali et joués partout en France et à l'étranger. Ici, c’est l’évocation...
L'avis de Jeanne-Marie Guillou
Bourse du travail CGT
![](../img-article/Jane3_1FTFGY.jpg)
AVIGNON
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ON N'A PAS PRIS LE TEMPS DE SE DIRE AU REVOIR
de Rachid BoualiMise en scène de Rachid Bouali
Ce spectacle est dans la continuité des opus précédents autobiographiques (« Cité Babel », « Un jour, j'irai à Vancouver » et « Le jour où ma mère a rencontré John Wayne ») écrits par Rachid Bouali et joués partout en France et à l'étranger. Ici, c’est l’évocation...
L'avis de Jeanne-Marie Guillou