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Nougaro, l'homme aux semelles de swing
de Christian Laborde
Mise en scène de Laurent Rochut
Avec Christian Laborde, Bernard Ariu
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Du 07/07/2016 au 30/07/2016
20h40.
Théâtre de l'Oulle
19, place Crillon
84000 AVIGNON
04 90 86 14 70
Claude Nougaro et son double...
Lorsqu'il commence à nous parler de Claude Nougaro, à parler Claude Nougaro, sa voix nous le fait déjà revivre... Christian Laborde et son accent chantant de la région toulousaine, ça ressemble vraiment beaucoup à du Nougaro... Et comme il ne les chante pas, ce qui pourrait passer pour un crime de lèse majesté, les mots du chanteur nous arrivent brut aux oreilles et à la conscience... Avec toute leur puissance poétique. Car, s'il en avait été besoin, la prestation de Christian Laborde nous fait sentir et ressentir à quel point Claude Nougaro était et demeure un authentique poète... C'est quoi un poète ? Quelqu'un qui joue avec les mots, les sculpte sur le papier et dans l'espace sonore... Car il les considère comme un matériau comparable à la glaise dont se sert le sculpteur, aux couleurs du peintre... et non pas comme de simples et vulgaires outils de communication !...
A fréquenter des êtres comme Claude Nougaro et, plus tard, par exemple, un Bernard Lubat, vrai génie du langage lui aussi, on finit tant soit peu par leur ressembler... Ils sont des poètes... et l'on finit donc par le devenir un peu – beaucoup ! – soi-même... au bout de trente ans d'amitié... On écrit « L'Homme aux semelles de swing » et « le Parcours du Cœur battant », des livres que l'on a déjà envie de découvrir rien qu'en en lisant le titre...
Bien accompagné par Bernard Arriu, formidable accordéonniste, et dans une mise en scène à la fois sobre et forte de Laurent Rochut, Christian Laborde nous raconte Nougaro, son inquiétude devant l'ombre de son père, le grand baryton de l'Opéra de Paris Pierre Nougaro, aux trop fréquentes mais exigentes absences, telle une autre statue du Commandeur à défier... Ses débuts à Montmartre, sa rencontre avec le jazz, avec le Brésil aussi... Et la naissance de Cécile, sa fille...
Un spectacle que l'on peut qualifier sans la moindre crainte d'exemplaire...
A fréquenter des êtres comme Claude Nougaro et, plus tard, par exemple, un Bernard Lubat, vrai génie du langage lui aussi, on finit tant soit peu par leur ressembler... Ils sont des poètes... et l'on finit donc par le devenir un peu – beaucoup ! – soi-même... au bout de trente ans d'amitié... On écrit « L'Homme aux semelles de swing » et « le Parcours du Cœur battant », des livres que l'on a déjà envie de découvrir rien qu'en en lisant le titre...
Bien accompagné par Bernard Arriu, formidable accordéonniste, et dans une mise en scène à la fois sobre et forte de Laurent Rochut, Christian Laborde nous raconte Nougaro, son inquiétude devant l'ombre de son père, le grand baryton de l'Opéra de Paris Pierre Nougaro, aux trop fréquentes mais exigentes absences, telle une autre statue du Commandeur à défier... Ses débuts à Montmartre, sa rencontre avec le jazz, avec le Brésil aussi... Et la naissance de Cécile, sa fille...
Un spectacle que l'on peut qualifier sans la moindre crainte d'exemplaire...
Henri Lepine
05/08/2016
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AVIGNON
Chapelle des Italiens
de Philippe Minyana
Mise en scène de Alexandre Horréard
Extraordinaire ! Vous a-t-on déjà raconté des choses horribles avec le sourire ? Et bien là oui, la conteuse, naïve raconte l'histoire du Jeune Roi qui ramène sa jeune belle-sœur (12 ans) chez lui, puisqu'il est marié avec la sœur de la petite. Et l'histoire s'enchaîne...
L'avis de Geneviève Brissot
Chapelle des Italiens
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AVIGNON
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La petite dans la forêt profonde
de Philippe MinyanaMise en scène de Alexandre Horréard
Extraordinaire ! Vous a-t-on déjà raconté des choses horribles avec le sourire ? Et bien là oui, la conteuse, naïve raconte l'histoire du Jeune Roi qui ramène sa jeune belle-sœur (12 ans) chez lui, puisqu'il est marié avec la sœur de la petite. Et l'histoire s'enchaîne...
L'avis de Geneviève Brissot
AVIGNON
Théâtre du Balcon
Les trois petits vieux qui ne voulaient pas mourir
de Suzanne Van Lohuizen
Mise en scène de Johanne Benoit
Théâtre du Balcon
Les trois petits vieux qui ne voulaient pas mourir
de Suzanne Van Lohuizen
Mise en scène de Johanne Benoit